Présentés comme tels, ces modes ne paraissent pas plus utiles que les jauges « luminosité » et « contraste » présentes dans la majeure partie des logiciels de retouche : leur effet est global à la photo et initialement trop poussé, nécessitant de gérer l’opacité du calque supérieur pour doser l’effet… et revenir à la logique des jauges. Alors, quel est l’intérêt de ce tutoriel luminosité contraste Photoshop ?
La force de ces modes de fusion est à chercher ailleurs : ces modes s’appliquant à des calques Photoshop, ils peuvent se coupler à l’utilisation d’un masque de luminosité. Ce masque permet de créer une sélection basée sur la répartition des zones de luminosité d’une image pour appliquer l’effet d’un calque localement et très précisément. Je vais illustrer ce fonctionnement dans la suite de ce tutoriel.
Remarque : ce tutoriel n’a pas pour but de décrire le fonctionnement des masques de luminosité et de couleur. Pour découvrir l’utilisation de ces masques, je vous dirige vers le très bon tutoriel de Tony Kuyper en français ICI.
Pour cet exemple, je pars de la même image que précédemment, prise en Croatie avec un filtre polarisant : les nuages se détachent bien du ciel, néanmoins la lumière est dure et impacte le rendu du ciel. Mon but ici va donc être d’assombrir le ciel et d’augmenter légèrement le contraste de la scène.
Merci pour ce tuto, je me rends compte entre celui-là et le précédent qu’il me reste encore des années-lumières à parcourir concernant la photo et photoshop, c’est un peu le bad :/
Merci néanmoins pour ces tutos, par contre pour le coup ici ça pouvait très bien être fait uniquement sur LR non?
Bonjour Pierre,
Ne t’inquiète pas, la photo est un apprentissage constant, le plus dur étant de savoir se remettre en question régulièrement pour continuer à avancer.
Le réglage de la luminosité et du contraste peuvent bien entendu se faire avec Lightroom d’une manière globale, la méthode que je présente ici est une approche différente basée sur des calques et des masques plutôt que sur des jauges à doser. Cette méthode permet d’avoir un contrôle complet des informations enregistrées dans un fichier photo, mais nécessite plus de travail en contre-partie.
Merci pour ton passage en tout cas ;).
Ah ben là concrètement ces derniers mois j’ai plus progressé que ces dernières années mais aussi pris des grosses claques quand je vois le boulot de certains O.o
C’est vrai que PS est vraiment l’idéal pour des corrections localisées mais en RAW ça laisse pas mal de possibilité 😉
Ya pas de quoi, vais checker la page fb car je reçois pas de notifications quand ya des réponses ici ou de nouveaux articles 😉